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La Roche-dui-Tourne

YouTube: Laurent - La Roche-qui-tourne

« Roche-qui-tourne » en référence à mes deux patries charnelles qui ont cette singulière particularité d’abriter un menhir appelé, dans les deux cas et par une curieuse coïncidence, « Pierre qui tourne ».


Le premier, aux environs de Couvin, où ma famille paternelle, d'origine bretonne, est enracinée de longue date et, le deuxième, aux environs de Velaine-sur-Sambre, où ma famille maternelle, d'origine belge – et paraît-il un brin lorraine et alsacienne – est enracinée depuis plusieurs générations.


Velaine-sur-Sambre – non loin de la grotte de Spy qui abrite également un polissoir néolithique et où les gens du village appellent la « Pierre qui tourne » : Roche qui tourne.


Je reste fidèle aux idées de Quatrième théorie politique, de Monde multipolaire, de Troisième Rome et d'Empire eurasiatique de la Fin. Et ma loyauté envers Alexandre Douguine, Laurent James et la famille Parvulesco est intacte. Néanmoins, aux vues de la discrétion des « réseaux eurasistes » et l'absence de concours à mon combat « Pour un Eurasisme européen », je redéploie mon énergie pour soutenir l'idée d'Européanisme ou « Européisme fondamental » (cf. Steuckers) qui correspond davantage à mon exercice et ma réalité tournevirant vers l'Europe européenne, la plus Grande Europe de Jean Thiriart et de Jean Parvulesco.


 


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« Situé près de la Terre du Pendard à proximité du lieu-dit « La Justice », ce monolithe, vestige de l'époque néolithique, est fixé à l'altitude de 262 mètres parmi les champs de la Calestienne. Il a été redressé en 1895. Avant le 19ème siècle, il était appelé « Sury Pierre » ou « Chiropierre ». La terre où il est situé portait aussi le nom de « Pory Leleu »; en 1770, un document stipule « un poirier sur une roche de grès appelée Suripierre ».


Ce menhir de grès pèse environ 10 tonnes. Plantée en bordure d'une ancienne route pré-romaine, cette pierre antique marque depuis toujours la limite entre le Hainaut et la Principauté de Liège (province de Namur). Il marque la limite entre Presgaux - Gonrieux - Baileux, en bordure de l'ancien chemin Chimay - Couvin - Vireux.


Selon la légende, cette pierre tournait sur elle-même au cours de certaines nuits (St Jean, Noël, ...) » (source et crédit)


 


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« Le menhir de Velaine-sur-Sambre est une pierre brute, plantée en terre comme une grande borne et constituée par un bloc de grès extrait d’une sablonnière voisine. Cette pierre, qui mesure 3,10 mètres de haut et qui a une circonférence, à un mètre du sol, d’environ 5,40 mètres, fut certainement dressée en cet endroit par nos lointains ancêtres du Néolithique.


La légende raconte que cette roche faisait un tour sur elle-même lorsque minuit sonnait à la ferme de Fayat, située au Nord sur le territoire de Saint-Martin.


Le site de Velaine-Sur-Sambre tel que nous le connaissons aujourd’hui n’est plus qu’un très faible reflet de ce qu’il était au départ, c’est-à-dire, un complexe beaucoup plus vaste.


Une autre légende explique aussi le nom de ce mégalithe.


Un paysan fatigué d’avoir fauché son champ de très bonne heure, décida de se reposer au pied de cette pierre. Il s’endormit d’un long et profond sommeil. A son réveil, il fut étonné d’apercevoir le soleil derrière lui. Ne pouvant croire qu’il avait dormi douze heures, il en conclut que la pierre avait tourné et, à toutes jambes, courut au village annoncer l’événement. Et le nom de « Roche qui tourne » a franchi les ans. » (source et crédit)


« Situé sur l'actuelle commune d'Auvelais, le menhir de Velaine-sur-Sambre appelé dans le parler populaire « la pierre qui tourne », sans doute à cause des légendes qui s'y rattachent, se trouve sur une petite colline dite « le Bois Rougi ». Ce site a été classé par Arrêté Royal du 28 août 1960.


Le menhir est un bloc de grès bruxellien de forme quadrangulaire de plus de 3 mètres de haut et de 5 mètres de pourtour à 1 m du sol. Des fouilles pratiquées au début de ce siècle sur le site ont permis de découvrir des lames, des percuteurs et un fragment de hache polie en silex, ainsi que de nombreux tessons de vases grossiers. Il est incontestable que ce monolithe a été mis en place par intervention humaine.


Les autres grès affleurant, nombreux dans la région, présentent une surface arrondie tandis que les angles de la « Pierre qui Tourne » sont bien prononcés. On est donc bien en présence d'un menhir qui a vraisemblablement servi de lieu de culte jusqu'à l'époque gallo-romaine, si l'on en croit les morceaux de tuiles et tessons de poteries datant de cette période retrouvés à proximité du mégalithe.


Il est probable que la région comptait d'autres monuments de ce genre, mais qu'ils ont, à l'instar des affleurements naturels de grès, été éliminés pour faciliter les cultures. On a signalé, au siècle dernier, la destruction par mine d'une pierre, sans doute erratique (qui a été transportée à une certaine distance de son point d'origine), sous laquelle on aurait trouvé une vingtaine d'objets de nature diverse : bracelets, haches,... etc.


D'autres traces de l'activité humaine durant le Néolithique persistent cependant. Il s'agit de polissoirs fixes ou pierres dures ayant servi à polir où à aiguiser des outils ou autres objets. Dispersés dans les champs, prairies et bois privés, ils sont souvent inaccessibles. Grâce à l'amabilité d'un propriétaire complaisant et pour autant que l'on respecte les lieux, qu'on ne détruise pas la végétation et qu'on n'abandonne pas de détritus, un polissoir peut être visité dans les bois derrière « la pierre qui tourne ».


A proximité, Balâtre et Saint-Martin révèlent la présence d’habitats néolithiques. De la même période date la hache en silex poli découverte à Sombreffe. De plus, la « roche qui tourne » et le polissoir de Velaine attestent l’occupation du plateau dont fait partie Wanfercée-Baulet.


Le territoire de la commune n’a pas encore donné de traces d’occupation préromaine mais des lieux dits tels que « chant des Oiseaux » ou « la Tombe » notent une occupation gauloise ou franque. Des débris gallo-romains nombreux s’y retrouvent. Près du lieu-dit « à la Tombe » fut trouvé et fouillé un tumulus gallo-romain. Cette présence est attestée par des traces plus abondantes : Fleurus (monnaies, bijoux, objets d’art romain), Tongrinne (tombelle à incinération du 1er siècle), Tongrenelle (fragments de céramiques et de tuiles), Lambusart, Velaine, …


L’existence du réseau routier qui comprendra notamment la route de Tongres à Bavai passe à environ trois à quatre kilomètres de notre localité.


A l’arrivée de Jules César en Belgique (57 av. J.C.) la grande tribu des Nerviens occupait le centre du pays jusque Gembloux et avait pour clients : les Plumosiens, les Levaques, les Gordunes, les Centrons et les Grudiens.


Les Plumosiens habitaient les bords de la Sambre à partir de Marcinelle jusqu’à Namur. Leur pays s’étendait jusqu’à Court-Saint-Etienne et à l’ouest jusqu’à Loupoigne, Pont-à-Celles et Gosselies. Wanfercée-Baulet était compris dans cette portion du territoire .


Au vu de la concentration de fosses d’extraction et de pierres éparses, tout indique ici un ancien ensemble mégalithique plus vaste. » (source et crédit)


 


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Le blog de « toutes les Russies en exil » ?


Parce que je suis un européen d’ancestralité bretonne et belge né à « l’hôpital rose » à Uccle qui, comme chacun le sait, est la « Capitale de toutes les Russies en exil ».


Que j'ai grandit à l'ombre des pierres qui tournent et des feux ouverts sous le ciel étoilée de Wallonie, du Hainaut et de l'Artois... Proche de la Grande Ourse et des tombes mérovingiennes de Tournai.


Vive l'Empire de la Fin ! L'Empire des pierres levées par les dieux et dressées vers les cieux !


 


Laurent Brunet, votre serviteur.


 


-Pour nous contacter : brunetlaurent@live.fr


-Quelques vidéos : #Eurasisme 


 


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Vision de St Bernard, 1650 (Alfonso Cano)


« Une nouvelle chevalerie est apparue sur la terre de l'incarnation (...). Elle est est neuve et pas encore éprouvée dans le monde où elle mène un combat double, tantôt contre des adversaires de chair et de sang, tantôt contre l'esprit du mal dans les cieux. Et que ses chevaliers résistent par la force de leur corps à des ennemis corporels, je ne juge pas cela merveilleux car je ne l'estime pas rare. Mais qu'ils mènent la guerre par les forces de l'esprit contre les vices et les démons, je l'appellerai non seulement merveilleux, mais digne de toutes les louanges accordées aux religieux (...). Le chevalier est vraiment sans peur et sans reproche qui protège son âme par l'armure de la foi comme il couvre son corps de cette cotte de mailles. » Saint Bernard de Clairvaux, De Laude novae militiae (texte écrit entre 1130 et 1136)


 

Interêts

Eurasisme, Europe, Tradition