Rechercher : extérieur
Le recours à l'appui extérieur (Jean Parvulesco)
Jean Parvulesco, La Spirale Prophétique, Le recours à l'appui extérieur, pp.189 à 191, Guy Trédaniel Éditions
« L'engagement spirituel de celui qui se voit mystérieusement tenu de chercher en lui-même sa propre vérité vivante et la puissance cosmogonique de celle-ci n'implique en rien l'aboutissement final, la réussite, fut-elle partielle, de la recherche entreprise, ni ne saurait en tenir le résultat espéré pour donner d'avance. Au contraire, le chemin de la marche en avant se trouve presque toujours sournoisement dévié, interrompu ou obstrué de noir, suspendu sans fin devant la tragédie de l'obstacle imprévu et à jamais insurmontable qui représente l'épreuve propre, l'épreuve que l'on pourrait appeler fondamentale de tout passage à un stade irrévocablement supérieur de l'être. Il n'empêche que les ralentissements de la montée, les éboulements mystiques et les arrêts en chemin, les longs passages au noir, considérés dans le déploiement même de la spirale gnostique en marche, doivent être tenus pour autant d'épreuves, pour autant de stations initiatiques d'écartèlement sanglant et de passage par les fournaises intérieures de la croissance de l'éveil si l'on ne veut pas qu'il deviennent, ces ralentissements, ces éboulements, ces arrêts, ces passages au noir, autant d'arrêts de mort, le brusque effondrement dans ce puits du néant défini comme l'irrémédiable même par tous ceux qui en sont venus à savoir de quoi ils parlent.
Cependant, l'épreuve, et quelle qu'elle fût, n'est jamais suscitée pour que l'on avise de la contourner subversivement, mais pour qu'elle soit prise nuptialement, dramatiquement à bras le corps, assumée jusqu'à en faire une nourriture intérieure et un feu intérieur de ce contre quoi elle s'est trouvé appelée à agir là même où elle agit, en nous ou hors de nous. Toute grande épreuve est donc une chance de vive, tranchante, l'offre unique d'amorcer une montée autre, de se hausser plus et encore, aventureusement, dans le perpétuel retournement sur soi-même de la spirale cosmogonique porteuse ; toute épreuve est sommation de gloire pour celui qui sait se résoudre à lui faire face héroïquement. Tel fut aussi le pouvoir du mot à couvert de ce qu'il était convenu d’appeler, l'heure venue, les vertus d’héroïcité dans la conception active et eucharistiquement vivante de la sainteté qui s'avère celle de certains ordres catholiques militants durant le grand été ontologique du moyen-âge (et même par la suite ; tout près de nous, n'instruisit-on pas les vertus d'héroïsme d'une Sainte Bernadette Soubirous, d'un saint Pie X, d'une sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, répondant tous d'une mystique, d'une vision spirituelle totale fondée exclusivement sur l'héroïsme). Aussi, dans la montée spirituelle, il n'y a jamais de retour en arrière, ni d'arrêt, l'un et l'autre étant chaque fois, le signe du glissement fatal, de l'abdication forcée devant la mort - ou, comme ils disent, devant la seconde mort - que craignent tous les grands confesseurs des voies ascensionnelles avant choisi le danger de la marche au bord du ravin qui longe l'irrémédiable. Alors ceux-ci se font-ils soutenir et porter, inconsciemment, par les souffles transcendantaux de Vâyu, le vent tout-puissant des abîmes ultimes qui, dans la tradition hindoue, hante les cieux intérieurs du Soufle vital, les poumons embrasés de l'unique poitrine. Mais, longer ainsi le bord du ravin fatal est aussi la marche de concert avec la volonté occulte et immédiatement agissante de Dieu, ce que l'hindouisme traditionnelle appelle du nom de brahmachariya, la marche du brahamacharî avec Dieu, dont on devient alors le compagnon unique.
C'est là, pourtant, qu'apparaît le véritable vertige de l'interdit ultime : si nulle épreuve ne saurait être fatale en elle-même , parce que chaque fois qu'elle présente comme épreuve, elle se trouve située à peine un peu au-dessus de la ligne du plus extrême effort que l'on peut livrer de soi-même pour la dépasser, pour la réduire, le nombre de ceux qui parviennent à se hisser, exclusivement de par eux-mêmes, au-dessus précisément de ce léger surplus au-delà de leurs dernières forces n'appartient plus, dans les sombres temps du Kâli-yuga, les nôtres, qu'aux plus grands, aux fondateurs éveillées des mondes en recommencement et des cycles d'illumination compassionnelle ou amoureuse d'un passé déjà immémorial ou qui resteraient à venir.
Car, en fait, nulle grande épreuve ne saurait être résolue sans le secours, sans l'appui extérieur d'une puissance occultement requise et engagée à cette fin décisive. Aussi le problème des terribles obstacles que l'on n'en finit plus de rencontrer dans la spirale du salut et de la délivrance de notre cheminement le plus intime, sera, à chaque fois, le problème de l'obtention du plus juste appui extérieur à l'heure la plus vide, à l'heure la plus noire.
Appui extérieur nécessaire à l'effort d'au-delà de notre plus grand effort propre, appui extérieur qui seul peut tenter de renverser l'ordination négative constituée, au-dessus de nous-mêmes et jusqu'en nous-mêmes, par toute mise à l'épreuve qui se veut et qui parvient à se trouver posée comme tout à fait décisive. Plus ses faveurs augmentent, plus vous devez être vigilante écrivait la bien heureuse Marie d'Agréda, maîtresse de l'ascension spirituelle par excellence puisqu’elle construisit mystiquement le mystère même de l'Assomption de Marie d'Agréda peuvent très bien être traduis sur mode négatif, et avancer ainsi que plus les épreuves sont grandes, insoutenables, plus on doit comprendre que le dessein très caché que le très amoureux dessein à l'égard de l'être ainsi éprouvé est un dessein surélevé, celui-ci éprouvé par e qu'il y a de plus impitoyablement déchirant dans sa marche, et parfois même par l'inéprouvable même.
Car une terrible chose doit enfin être dite : sans le secret spirituel de l'appui extérieur, il n'y a pas de vrai combat dans l'être, ni sur les hauteurs, ni dans les gouffres innommables de la même épreuve qui souvent se présente avec un double visage, rouge et noir. Le secret du passage de la ligne, c'est le secret de l'appui extérieur. »
12/04/2017 | Lien permanent
La Pierre du Néant (Jean Parvulesco)
Jean Parvulesco - La Spirale Prophétique - Le recours à l'appui extérieur - La Pierre du Néant - p.191 à 192
Vers quelle direction polaire ultime, quand et comment se dresser alors dans le brasier menacé de la foi, dans sa limpide et intraitable volonté de franchir l'interdit, pour demander, pour tenter d'arracher de force l'appui extérieur fondamental, l'appui extérieur à la fois salvateur et libérateur devant le mystère vivant et non-vivant de la Pierre du Néant ? La sombre vérité reste cependant la suivante : dans les temps du Kâli-yuga, il n'y a plus, en Occident ni en Orient, de congrégation gnostique majeure ni de représentant qualifié de celui-ci, auprès de qui on pourrait implorer, ou exiger l'appui extérieur de la fin.
Alors, dans la saison terminale du Kâli-yuga, il n'y a plus de salut, ni de délivrance, ni de libération dans la vie. Seuls obtiennent l'appui extérieur devant l'obstacle au noir de l'épreuve infranchissable, de l'épreuve décisive et plus que décisive, de l'épreuve constitutive, ceux qui servent, dans le visible et dans l'invisible, mais dans les deux cas très occultement, le seul dessein de la Divine Providence en action, les agents secrets de la marche en avant de l'histoire et qui agissent, déjà, non du point de vue de l'histoire, elle-même, mais directement à l'avant-garde de la transhistoire, depuis le lieu-même où s'exerce l'attraction en spirale de la volonté de celui qui est chargé de tout mener amoureusement à son terme ultime.
Faut-il le répéter ? Au bout du cycle final entré dans sa phase la plus noire, il n'y a plus de salut, ni de délivrance sans mission spéciale. Heureux donc ceux qui ont déjà lavé leurs robes dans la bouilloire de leur propre sang, car c'est ainsi qu'il saura les reconnaître celui qui est le seul dispensateur de l'appui final dans les temps nocturnes du Kâli-yuga, lui même étant le Tout Dernier.
20/03/2018 | Lien permanent
La démocratie, sacrée ou laïque ? (6)
Alexandre Douguine, La Quatrième théorie politique : La Russie et les idées politiques du XXIième siècle, Chapitre III La démocratie, sacrée ou laïque ?, pp. 57-62, aux éditions Ars Magna
LA DÉMOCRATIE GLOBALE COMME ROYAUME DE L’ANTÉCHRIST
La démocratie du XXIème siècle apparaît de l'extérieur comme le système politique le plus contemporain et tente d’intégrer en elle tous les individus sans distinction de citoyenneté , d'orientation sexuelle, de niveau social, d'appartenance raciale ou ethnique. Elle s'appuie sur la théorie des "droits de l'homme". Mais dans ce cas également, il n'y a ni rationalité du choix, ni signification de l'individualité, ni égalité dans la prise de décision. Le bon sens d'un individu est annulé par la folie d'un autre et à travers toutes les tentatives de "moderniser" la démocratie on voit transparaître à nouveau sa nature antique ancestrale absolument archaïque et, en fin de compte irrationnelle. (Qu'y a-t-il de "rationnel" dans le fait de s'adresser à un "esprit" vague et extatique ?!). Seulement à présent, à travers les projets de société civile mondiale, s'exprime non pas l'esprit de la polis, de la tribu, du peuple mais une autre essence plus généralisée, commune à toute l'humanité, que la tradition chrétienne est encline à interpréter comme "le prince de ce monde". Les mêmes collèges de prêtres qui apparaissent aujourd'hui sous le masque des partisans de la "société ouverte" et de la "mondialisation" entreprennent d’interpréter le bougonnement indistinct des masses planétaires. Et on ne peut que deviner qui ils servent en réalité.
The Fourth Political Theory: beyond left and right but against the center
07/12/2014 | Lien permanent
La primauté du cœur (Pierre-Yves Lenoble)
Pierre-Yves Lenoble, La Dame Déleste – La tradition secrète des « fidèles d'amour » islamo-chrétiens, Chapitre III – L'Amor, La Mort, L'A-Mor et l'Âme-Or, pp. 37-38, aux éditions Fiat Lux
« ...Cette poésie courtoise spécifiquement destinée aux hommes d'action, on l'a dit, comporte une forte teneur initiatique et propose en filigrane les conditions, les moyens et les fins dont dispose le chevalier profane, c'est-à-dire le néophyte, afin de petit à petit transfigurer son être et d'assurer le salut définitif de son âme.
Le premier élément que nous souhaitons aborder concerne l'état d'être et d'esprit dans lequel le novice doit obligatoirement se mettre, soit la condition nécessaire de purification et de probation, pour obtenir la qualification requise et mener à bien son long processus d'initiation.
En clair, il est important de comprendre que la doctrine métaphysique professée par la poésie courtoise ne peut être appréhendée qu'après un nécessaire retour sur soi : c'est un savoir de nature ontologique qui ne doit pas rester extérieur à l'élève et qui suppose une implication plénière de l'être individuel.
Ainsi donc, on peut s'apercevoir que les « Fidèles d'Amour » islamo-chrétiens, en conformité avec tous les enseignements traditionnels, ont à l'unanimité affirmé la primauté du cœur en tant qu'organe subtil où s'opèrent les visions théophaniques, et en ont fait symboliquement le siège intérieur de l'intelligence et de l'amour qui seul permet la réunion harmonieuse entre le Connaître et l'Être. »
06/05/2022 | Lien permanent
Réaction à l'audio de Thomas Ferrier au sujet de l'identitarisme européen
« Les « nationaux » s’attaquent aux effets du mal, pas à ses racines. Ils sont anticommunistes mais oublient que le capitalisme et les régimes libéraux sont les principaux artisans de la propagation du communisme. Ils étaient hostiles à la politique algérienne du gouvernement, mais oublient que cette politique était le produit d’un régime, de son idéologie, de ses intérêts, de ses maîtres réels financiers et technocrates, comme de ses structures politiques et économiques. Ils voulaient sauver l’Algérie française contre le régime, mais ils reprennent à leur compte ses principes et ses mythes. Imagine-t-on les premiers chrétiens adorant les idoles païennes et les communistes chantant les louanges du capitalisme ? » Dominique Venner, Pour une critique positive
« – Retenez bien ceci, lui-dit-il d'une voix ardente. Dans ce siècle où les hommes meurent comme des mouches, c'est une chose trop quotidienne que la souffrance pour qu'on ne la regarde pas avec dégoût . Le christianisme est perdu s'il se contente d'être une religion de sacrifice, de privation et de refus. Ne prêchez pas la souffrance, ni la vôtre, ni celle des autres, ni celle du Christ. Le monde en déborde déjà. Prêchez la conquête et la victoire ! C'est de victoire que l'homme a faim ! Et ne confondez pas ! La victoire de l'homme, pas celle de la société : Revenez aux sources. La société n'est que matière et la matière est maudite. Elle n'est faite que pour obliger l'homme à vaincre la malédiction. Distancez-vous ! Soyez neutre ! La révolution n'a pas plus de droits que la contre-révolution. Retrouvez l'intelligence dont vos maîtres ont perdu les clefs. Ils ont voulu la communiquer trop tôt à tous, et ils l'ont perdue. Ce n'est pas parce que vous la garderez invisible qu'elle sera inopérante, au contraire. Sur l'autel du monde, c'est l'intelligence invisible qui célèbre le vrai sacrifice !...
Ces mots brûlèrent d'Aquilla comme un fer. » Raymond Abellio, La Fosse de Babel, Deuxième partie, VIII, 33. Drameille et l'abbé d'Aquilla discutent de façon socratique sur la notion de « prolétariat », p. 209, L'imaginaire Gallimard
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L'audio Telegram de Thomas Ferrier : Conférence sur l'histoire de l'identitarisme européen
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Quelques murmures étouffés d’intellectuels blêmes au chevet de la Droite agonisante, blanche comme une morte, évoquent l'occidentalisme à demi-mot, dans le silence d'un dernier recueillement. Qu'elle repose en paix.
L'âme s'envole. Ce qui n'existait pas hier apparaît, à la suite de Laurent Ozon, c'est Thomas Ferrier qui se soumet à l'exercice des derniers sacrements : une introduction similaire sur l'histoire de l'identitarisme européen avec la même allusion à l'occidentalisme. Un ange passe. Il est né le divine enfant.
Après test de paternité, le trait de caractère identitaire du néo-occidentalisme est fruit du hasard, et c'est là toute sa particularité. Le néo-occidentalisme est né d'une vierge. Le lien filial entre néo-occidentalisme et identitarisme européen est fortuit.
La tache de naissance du néo-ccidentalisme est le prométhéisme. Le prométhéisme comme philosophie matérialiste et spiritualité new age, qui en dit davantage sur l'esprit occidentaliste postmoderne que les commentaires d'actualité et positions métapolitiques des animateurs et influenceurs de ce mouvement. C'est une autre génération que celle des néo-occidentalistes, qui n'a pas cette culture métapolitique du Nationalisme révolutionnaire qui ouvrait ses pages à l'école pérennialiste, une littérature ignorée par les néo-occidentalistes prométhéens.
Il n'y a pas véritablement de solution de continuité entre nationalisme européen et néo-occidentalisme ; c'est ce que les intellectuels ne comprennent pas, mais nous développerons ce point ailleurs, peut-être dans un commentaire de l'audio Telegram de Laurent Ozon sur le même thème.
En attendant, nous le ferons dans notre essai La grande trahison métapolitique de la Droite que nous sommes en train de diffuser en plusieurs articles et où nous abordons le sujet du prométhéisme.
Nous nous concentrerons ici sur les conclusions précoces de Thomas Ferrier au sujet de l' « altérité nécessaire de l'occidentalisme et de l'eurasisme ».
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« L'engagement spirituel de celui qui se voit mystérieusement tenu de chercher en lui-même sa propre vérité vivante et la puissance cosmogonique de celle-ci n'implique en rien l'aboutissement final, la réussite, fut-elle partielle, de la recherche entreprise, ni ne saurait en tenir le résultat espéré pour donner d'avance. Au contraire, le chemin de la marche en avant se trouve presque toujours sournoisement dévié, interrompu ou obstrué de noir, suspendu sans fin devant la tragédie de l'obstacle imprévu et à jamais insurmontable qui représente l'épreuve propre, l'épreuve que l'on pourrait appeler fondamentale de tout passage à un stade irrévocablement supérieur de l'être. Il n'empêche que les ralentissements de la montée, les éboulements mystiques et les arrêts en chemin, les longs passages au noir, considérés dans le déploiement même de la spirale gnostique en marche, doivent être tenus pour autant d'épreuves, pour autant de stations initiatiques d'écartèlement sanglant et de passage par les fournaises intérieures de la croissance de l'éveil si l'on ne veut pas qu'il deviennent, ces ralentissements, ces éboulements, ces arrêts, ces passages au noir, autant d'arrêts de mort, le brusque effondrement dans ce puits du néant défini comme l'irrémédiable même par tous ceux qui en sont venus à savoir de quoi ils parlent. » Jean Parvulesco, La Spirale Prophétique, Le recours à l'appui extérieur, p.189, Guy Trédaniel Éditions
Le logos européaniste entre conservatisme de guerre de retard et identitarisme postmoderne ne peut se sauver lui-même, justifier sa propre orientation par lui-même, sans évoquer le recours nécessaire à l'appui métapolitique extérieur.
Un « appui extérieur » qui ne peut être qu'occidentaliste « du plus grand Ouest » ou eurasiste « du plus grand Nord » ; il n'y a pas d'autres choix.
L'occidentalisme européen peut se présenter comme une instance de dialogue métapolitique diplomatique avec les États-Unis comme l'eurasisme européen peut remplir la même fonction avec la Russie, mais nous n'en sommes pas là. Et la question « spirituelle » reste posée.
L'état métapolitique actuel du « camp européen », sous tutelle du « camp national », est celui du déni occidentaliste. Un occidentalisme par défaut mais qu'on ne peut que constater – comme on ne peut que constater le fond spirituel qui l'anime. La preuve en est que Thomas Ferrier lui-même est contraint et forcé de passer par des médias souverainistes ou occidentalistes pour s'exprimer. L'européanisme se cherche un nouveau centre et un nouvel axe de diffusion, un nouvel Ordre révolutionnaire, libre et indépendant de la Nouvelle Droite et de la réinfosphère.
L'analyse introductive de Thomas Ferrier se termine où elle devrait commencer...
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Pour ce qui nous intéresse, cette première analyse souffre d'une incompréhension des théories multipolaires eurasistes et peine à s'en expliquer.
« On dit non à Douguine ! »
Mais il faudrait dire pourquoi, ou ça ne vaut rien. Guillaume Faye n'est plus là pour s'expliquer, nous n'avons rien trouver dans nos archives qui justifie ce non et nous ne retiendrons que cette absence de justification de laquelle on ne peut rien faire.